Le discours de la cheffe du gouvernement pendant sa première visite officielle en Arabie Saoudite a été fustigé par certains tunisiens francophobes.
Malgré un parcours universitaire enrichissant et un parcours professionnel d’une qualité reconnue, Najla Bouden ne maitrise pas le jeu de l’arabe classique qui émerveille les plus francophobes et les plus crédules des tunisiens.
Un ancien ministre islamiste a ouvertement attaqué la cheffe du gouvernement sur sa non maitrise de la langue arabe, quoi de plus médiocre que cet acte qui occulte l’incompétence de son auteur.
Les compétences francophones devraient elles céder leurs places aux arabophones qui ont excellé dans la destruction massive de l’économie tunisienne, dans la putréfaction des fondement de l’État et dans l’appauvrissement de la culture tunisienne ?
Nous souhaitons que cet incident soit l’occasion pour la nouvelle cheffe du gouvernement tunisien de prendre au sérieux la lutte contre la montée croissante de la francophobie en Tunisie.