Brahim Bouderbala, le président de l’Ordre des Avocats en Tunisie a indiqué hier 4 mai 2022 au sujet de la polémique des enregistrements fuités de l’ancienne cheffe du cabinet présidentielle Nadia Akacha, que cette dernière risque des poursuites engagées par le ministère public judiciaire ou militaire.
Ces poursuites seront fondées selon le président de l’Ordre des Avocats tunisien sur l’atteinte à la sécurité nationale.
Rappelons que Nadia Akacha, installée à Paris depuis peu a nié être à l’origine de ces enregistrements fuités.