Une hausse disproportionnelle des tarifs de la chancellerie, des services consulaires médiocres le plus souvent, une absence de la numérisation des services, exclusion dans la prise de décisions politiques et sociétales, des députés inactifs pour la plupart d’entre eux, et des promesses non tenues.
Tel est le quotidien depuis des années de la dispora Tunisienne à l’étranger et en France, en particulier. Un quotidien morose qui n’a pas empêché et découragé les TRE d’offrir à la Tunisie des transferts en devises d’une valeur de 4 Milliards de Dinars depuis le mois de janvier 2020 jusqu’au 20 septembre de la même année, selon les chiffres publiés par la Banque Centrale.
Le montant des transferts de notre diaspora dépasse de 8,8% celui de l’année dernière, une évolution considérablement importante lorsque l’on prend en compte les conséquences économiques et financière de la pandémie.
